Dans « ma vie d’avant », j’avais un mal fou à faire comprendre ce qu’était la supply chain, en commençant par mes enfants qui auraient sans doute préféré avoir un père dont le métier soit facilement explicable aux copains. Pas de bol non plus : ce terme de supply chain n’a pas de traduction directe en français (comme marketing d’ailleurs, histoire de se sentir moins seul). Et pourtant…quel beau métier dans l’industrie, qui consiste à optimiser la performance globale d’une entreprise, au-delà des enjeux locaux des départements, par la planification des moyens tout au long de la chaîne d’approvisionnement. A ceux pour qui cela reste du chinois, retenez que le département supply chain est une sorte de tour de contrôle qui régule les flux produits pour la satisfaction du client (avec un indicateur clé : le sacro-saint taux de service ! Qui mesure la capacité d’une entreprise à livrer la marchandise dans les délais demandés par le client).
Dans « ma vie de maintenant », j’ai rajouté une corde à mon arc, le coaching et plus largement l’écoopération. N’en jetez plus, il y a tellement de coachs que le terme a perdu toute signification et en plus, tout pareil, pas de traduction en bon français ! Et pourtant, là aussi, quel beau métier que le coaching professionnel, qui : « [] se définit comme une relation suivie dans une période définie qui permet au client d’obtenir des résultats concrets et mesurables dans sa vie professionnelle et personnelle. A travers le processus de coaching, le client approfondit ses connaissances et améliore ses performances. Le client clarifie ses objectifs et s’engage dans l’action grâce à l’interactivité établie entre le coach et lui. L’accompagnement permet au client de progresser plus rapidement vers la réalisation de ses objectifs, car la relation de coaching l’invite à se centrer sur ses priorités et ses choix. Le processus de coaching se concentre sur la situation présente du client et sur ce qu’il est prêt à mettre en œuvre pour atteindre ses objectifs. » (Définition ICF – International Coach Federation).
Alors…est-ce vraiment trop injuste ?
« Tout est juste »* ! Quand on y regarde de plus près, dans les deux cas, en supply chain et coaching, il s’agit de performance et de coopération, deux notions qui m’ont toujours animées. Performance : réussir de manière remarquable ; coopération : co-opérer, créer une œuvre ensemble – un collectif commençant à deux (au hasard, le client et son coach).
Du coup, coacher dans les métiers de la supply chain, revient à éclairer les relations interpersonnelles, remettre du high touch (la bonne posture des acteurs dans le flux – approvisionnement, logistique, production, ventes…et bien sûr supply chain, pour faciliter la coopération), dans un domaine high tech (les bons outils de planifications, les bonnes compétences techniques, les bons processus industriels).
La Petite Étincelle est là pour vous aider à renforcer la coopération en entreprise au service de la performance (individuelle ou collective), sous 3 axes :
· Formation : découvrir son leadership, comprendre la performance globale ;
· Conseil : mettre en place des rituels de coopération en entreprise (ex : S&OP, Sales and Operations Planning) ;
· Coaching : dans la coopération avec le coach, le client (individuel ou collectif), clarifie ses objectifs, réaligne sa posture et s’engage dans l’action, en identifiant les moyens nécessaires au succès de son projet en entreprise.
A votre disposition, professionnels de la supply chain, des RH…pour remettre la coopération au cœur de vos préoccupations, dans l’enthousiasme moteur !
*Tout est juste est l’une des lois du vivant créée par Danièle Darmouni, cf. son livre Le Leadership du vivant (édition L’Harmattan).
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